Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture et l'Alimentation
Notre existence même dépend de l’eau.
Nous avons tous besoin d’eau, pour boire et pour produire notre nourriture. Par ailleurs, les écosystèmes liés à l’eau assurent des moyens d’existence, la sécurité alimentaire et la nutrition. Or l’eau douce manque de plus en plus. Aujourd’hui, 3,2 milliards de personnes vivent dans des régions agricoles qui connaissent des pénuries d’eau ou une rareté de l’eau élevées ou très élevées; parmi elles, 1,2 milliard vivent dans des régions soumises à des contraintes hydriques très élevées, dont près de la moitié en Asie du Sud et 460 millions environ en Asie de l’Est et en Asie du Sud-Est. Si on n’agit pas rapidement, bien plus de personnes encore seront touchées.Croissance démographique et hausse de la demande
La croissance démographique et le développement socioéconomique sont des facteurs déterminants de la rareté de l’eau du fait qu’ils créent une demande accrue, qui pèse sur cette précieuse ressource naturelle. Les effets du changement climatique, notamment sur les précipitations et les disponibilités en eau, exacerbent la situation, avec pour résultat que le volume annuel des ressources en eau douce disponibles par personne a diminué de plus de 20 pour cent au cours de ces 20 dernières années.Organisation des Nations Unies pour l'Agriculture et l'Alimentation
1. En 2019, Projet de reboisement de 100 hectares de terre dans le groupement Bweza en territoire de Rutshuru, Province du Nord-Kivu. Financé par le gouvernement canadien sous la FAO partenaire de mise en oeuvre en faveur des organisations paysannes enregistrées par la FAO dans la province du Nord-Kivu.
Ce projet vient répondre au besoin des paysans agriculteurs survivants des catastrophes dues aux perturbations saisonnières.
2. En 2019, projet de reboisement de 250 hectares de terre dans la Province du Nord-Kivu, territoires de Rutshuru, Masisi et Nyiragongo. Financé par la Coopération Allémande sous la FAO partenaire de mise en oeuvre en faveur des organisations paysannes enregistrées par la FAO dans la province du Nord-Kivu. Projet de 12 mois.
3. En 2017, la DPF bénéficie des semences de haricot, maïs et soja et outils aratoire par la FAO en faveur des agriculteurs de Bweremana, Kirotshe, Kitumbili, Shasha, Kashenda dans la zone de santé de Kirotshe.
4. En 2015, réception des semences et outils aratoires de la part de la FAO au bénéfice des OP dans la zone de santé de Kirotshe.
5. En 2014, la DPF en collaboration avec la FAO a encadré 843 paysans producteurs regroupé en 28 Organisations Paysannes (OP) sur 275 hectares répartis en huit filières : maïs, haricot, pomme de terre, arachides, patate douce, manioc, soja, choux dans les localités de Mupfunyi Shanga.
Assistance en non vivres (NFI) à 3584 ménages retournés membres de la DPF avec l’appui de la FAO.
Mise en place des Champs Ecoles Paysans (CEP) dans différents OPA, avec le financement du royaume de Belgique via FAO.
Distribution des semences et outils aratoires pour les paysans agriculteurs des localités de Kashenda et Bweremana.
La sensibilisation des populations aux techniques agricoles améliorées, à l’intégration agriculture – élevage pour une meilleure production agricole durable, la valorisation des produits agricoles par la transformation, de conservation et de commercialisation des produits agricoles, avec l’appui de la FAO/Bureau de Goma, Projet GTFS.
6. En 2013, la FAO a appuyé la DPF en: Semence vivrières, Formation en nouvelles techniques agricole. Octroi des semences de maïs hybrides en faveur des bénéficiaires membres de la DPF dans la zone de santé Kirotshe territoire de Masisi.
7. En 2012, en faveur des ménages déplacés, retournés et ménages hôtes, la FAO a appuyé la DPF pour la construction de l’entrepôt à Bweremana, territoire de Masisi.